Chap.6: Des cousines à l'inconnu du bus.

Jennifer lève la tête et ses lèvres rencontrent celles de May. Celle-ci déboutonne la chemise en jean de sa cousine et, bientôt, l’opulente poitrine de la jolie petite rouquine apparait dans toute sa volupté.

J’ai le cœur qui bat plus vite. Je suis un peu voyeuse, j’aime bien observer d’autres faire l’amour. Cela date de ma folle jeunesse, lorsque je matais mes cousines plus âgées avec leurs galants. Ce fut ma découverte du sexe masculin. Je n’avais jamais vu de bite avant mes quatorze ans.
Je caressais ma chatte trempée en voyant ces couples faire l’amour. Parfois, elles échangeaient leurs amants entre elles, pour le plus grand plaisir de tout le monde.
Et puis, un jour, ce joli monde s’aperçut de ma présence. J’ai été invitée à rejoindre le groupe et, sous les yeux et les encouragements, j’ai perdu ma virginité.

Tous ces souvenirs se mélangent au présent. Les deux cousines m’ont rejoint sur le canapé. Jennifer a posé sa tête sur mes genoux et May a écarté les cuisses de sa cousine et entreprend de la lécher.
Jennifer a laissé un léger duvet roux qui surplombe l’excroissance de chair abritant son clitoris.
L’intérieur de ses cuisses est également constellé de tâches de rousseur. C’est surprenant et charmant.

May est couchée sur le ventre, les genoux pliés. Ses orteils bougent en cadence avec les coups de langue qu’elle donne à sa cousine. Jennifer gémit, sa poitrine XXL se gonfle et elle me regarde d’un œil vitreux.

Elles m’ont proposé de faire l’amour devant moi. Cela impliquait que je regarde uniquement, mais elles n’ont pas explicitement dit non plus que je ne devais pas participer.
Les lèvres entrouvertes de Jennifer sont trop tentantes et je me penche pour les cueillir d’un baiser. Son bras se relève et elle caresse mes cheveux en me rendant goulûment mon baiser.

Du coin de l’œil, je guette la réaction de May, mais elle trop occupée à manger la chatte de sa cousine pour contester mon intervention.

Jennifer se met à haleter et à gémir. Sa poitrine remue un peu comme les jelly pudding, ces gâteaux anglais à base de gélatine. Raconté comme ça, c’est bizarre, mais c’est vraiment très érotique et je sens que je mouille ma culotte.

Jennifer jouit. Je partage à nouveau un baiser avec elle. May vient aussi l’embrasser, puis elle m’embrasse également. La belle eurasienne est à demi-nue et je me mets en devoir de lui ôter son pantalon et sa culotte.

Une fois nue comme sa cousine, elle fond sur moi et, avec l’aide de sa cousine, elle me déshabillent.
Jennifer m’allonge sur le canapé et May se place derrière moi. Ses mains, aussitôt, glissent sur mon corps.

- Tu es drôlement bien foutu pour une vieille ! me glisse t’elle à l’oreille.
- Chipie !

Jennifer a ouvert mes cuisses. C’est ma chatte qui va lui servir de déjeuner. Elle commence à me lécher, tout en pénétrant mon vagin avec un doigt.

C’est là que je le vois. Sa silhouette se reflète dans une vitrine de la bibliothèque de Madame V.

Qui ? Là est la question. Un garçon, en tout cas, car il est pourvu d’une bite qu’il branle frénétiquement.
Il a l’air jeune. Je repense aux mots de May, tout à l’heure : ‘’ nous sommes seules avec Arthur, le frère de Jen’’.

Je le prends immédiatement en sympathie. Il me fait penser à un de mes petits cousins, le fils de ma cousine Hélène. Lorsque je venais chez ses parents, il se débrouillait toujours pour me mater sous la douche, grâce à une espèce de fenêtre haute, posée juste en dessous du plafond. Il fallait escalader pour y voir quelque chose par là.

Je prenais mon temps pour me doucher, me sécher et je me maquillais en restant entièrement nue. Autant de persévérance et de sens de l’équilibre méritait bien un encouragement.

J’espère qu’il prend autant de plaisir à voir sa sœur dévorer ma chatte que j’en prend à sentir la langue de Jennifer me faire fondre .

En souplesse, May s’est juchée par-dessus le canapé et m’offre sa chatte à lécher. Pendant que je déguste sa jolie moule, Jennifer me doigte. Je ne tarde pas à jouir, bientôt suivi par May.

Je serais volontiers resté avec mes nouvelles amies, mais j’ai promis à Romain d’aller faire pour lui une course en ville. Je dois retirer un recommandé à la Poste.

Comme toujours, il y a une queue énorme et je regrette d’avoir accepté cette corvée. Et, comme un ennui n’arrive jamais seul, lorsque je reprends ma voiture, elle refuse de démarrer.

Je dois prendre le bus pour rentrer chez moi. Comme à la Poste, il y a tellement de monde que tous les passagers sont collés les uns aux autres. Je regrette d’avoir mis ma petite robe crème, elle va aller directement à la machine à laver en rentrant.

Au bout de quelques instants, je sens une main qui passe entre mes cuisses. Surprise, je me retourne vivement. Les passages semblent indifférents. Il y a trois hommes et deux femmes qui pourraient être les coupables, mais ils affichent tous la mine ennuyée de ceux qui doivent passer une heure dans un bus bondé.

Après son arrêt, le bus repart et la main glisse à nouveau par derrière, entre mes cuisses. Je ne bouge pas afin d’identifier celui ou celle qui se permet cette familiarité. Mais je n’arrive pas à voir quoi que ce soit. Dans ce court laps de temps, la main est arrivée entre mes fesses et commence à me masser.

A ma grande surprise, je trouve la sensation agréable. Je me dis que ce parcours en bus pourrait être bien plus intéressant que prévu. La main est douce et caressante. J’écarte mes cuisses autant que je le peux, vu que nous sommes agglutinés les uns aux autres. Des doigts écartent le fin tissu de ma culotte et s’insèrent doucement entre les lèvres de mon sexe.

Je souris en me disant que ma vulve doit encore être humectée par le souvenir des langues de May et Jennifer.
Les doigts explorent ma chatte et je dois me cramponner à la main courante du bus pour ne pas défaillir. Un doigt ose entrer dans l’antichambre de mon vagin. Je me cambre un peu pour lui permettre d’entrer plus loin.

Commence alors une série de va et viens. Je ferme les yeux et je savoure la caresse. J’ignore si des passagers se sont rendu compte de mon manège et, très vite, je m’en fiche.
Je repense à cette bande dessinée, le Déclic de Manara. Comme la jeune femme, héroïne de l’histoire, je suis à un stade où toutes mes inhibitions sont levées. Je serais capable de jouir dans ce bus, si l’inconnu qui me pénètre continue.

Mis, soudain, le bus s’arrête et la main repart comme elle était venue. Un peu affolée, je constate que c’est mon arrêt et je descends en catastrophe.
D’autres personnes sont descendues. Deux hommes et une femme.

Aucun ne semble prêter particulièrement attention à moi. Je me mets en route vers ma maison, j’en ai pour une bonne vingtaine de minutes à pied et la nuit commence à tomber.
Je monte la rue qui donne sur une place arborée, au centre de laquelle se trouve une petite église.

Au bout d’un moment, je me rends compte que je suis suivie. Bien sûr, il peut s’agir d’une personne qui prend tout simplement le même chemin. Mais je ne suis pas tranquille, je me sens un peu comme une biche qui sent le loup se rapprocher, mon instinct me dit que celui qui me suit est le même que celui du bus. Quelles sont ses intentions ?

J’arrive à la hauteur de l’église et, mue par une impulsion soudaine, j’y entre. Je reste vers le fond, dans l’ombre, à côté du confessionnal.
Soudain, je sursaute et je pousse un petit cri. Une main s’est immiscée entre mes cuisses comme dans le bus.

- N’aie pas peur… murmure une voix masculine.

L’homme est collé à mon dos et sa main remonte doucement entre mes cuisses. De son autre main, il me pousse doucement vers le confessionnal. Je me laisse faire.

Une fois dans l’étroit réduit, celui réservé au prêtre, il s’assoit sur le siège. L’obscurité est telle que je ne peux même pas distinguer ses traits du visage. Il guide ma main et je la referme sur un sexe palpitant que je branle lentement.

Pendant ce temps, il a relevé ma robe et baissé ma culotte, que je finis d’enlever. Je m’assois sur lui, face à face et, lentement je m’empale sur sa bite.
Une fois sa queue au fond de mon vagin, je passe mes bras autour de son cou et nos lèvres se joignent. Il sent le tabac.

Ses mains sont sur mes hanches, mais c’est moi qui donne le rythme et il me laisse faire. Je monte et je descends sur son pieu de plus en plus vite. Puis il se cambre lui aussi. Le confessionnal s’ébranle comme s’il participait, lui aussi, à notre étreinte. Je gémis et crie mon plaisir entre les bras de cet inconnu.

Dans un râle, il jouit en moi. Je sens sa semence tiède couler lorsque je me relève et qu’il se retire. Ma culotte sert de serviette improvisée.

- Sors en premier et attend-moi ! me dit-il.

Je sors, mais, au lieu de l’attendre je me cache derrière une haie. Je le vois sortir, regarder de gauche à droite, puis se précipiter dans la rue principale. J’attends un peu, mais il ne revient pas.
Alors, je rentre rapidement chez moi.
Zveřejnil(a) sainte_levrette
před 5 měsíce/ů
Komentáře
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sainte_levrette
do Catwomanmeows : Thank you for your comments. I confirm : I'm a nymphomaniac !
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laurent7891
do Catwomanmeows : it is a paradise to which I will gladly invite you....
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Catwomanmeows
do laurent7891 : Is there a time machine we can get into and visit this Shangri-La you describe? 😃
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Catwomanmeows
A busty redhead with a nice strawberry patch that the tall slender Eurasian gets to lick and you get to watch. Claire, I’m jealous! And thanks for sharing a few of your own memories into each chapter, you’re a gem!

Then you treat us to a secret fantasy of a stranger touching you on the bus and follows you into the church! Claire, I declare you’re a nymphomaniac! meow 
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ccandau
do sainte_levrette : normal c'est très excitant
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sainte_levrette
do ccandau : Merci !
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ccandau
do sainte_levrette : mais avec toi tout ce que tu raconte est excitant
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sainte_levrette
do ccandau : C'est toujours le cas, tout dépend du contexte...
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ccandau
oh que cette aventure est excitante tu sais nous ramener dans un passé pas si loin ou il n'y avais pas de cris d'indignation quand une main s'égarait dans les transports publics et ou le confessionnal était un divin lieu de refuge pour des amours intenses et brefs merci pour ce retour en arrière
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sainte_levrette
do laurent7891 : Je crois que cette époque n'est pas fini. Elle coexiste avec les faits divers largement médiatisés (avec raison sans doute). Tous les trains n'arrivent pas en retard.
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sainte_levrette
do vaughan91 : Ce pseudonyme m'a été donné par des amis. Je crois qu'il n'est pas usurpé !
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laurent7891
do sainte_levrette : Comme vous avez raison ! ..mais malheureusement, l'époque n'est plus trop à la liberté, notamment sexuelle....a contrario de celle que j'évoque et qui était véritablement collective " jouir sans entrave" n'était pas un slogan usurpé ! ... heureusement, il reste cette liberté individuelle que vous évoquez si bien...
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vaughan91
Le pseudonyme dirait votre prédilection pour la divine position ? En tout cas vos récits disent bien votre liberté de ton et d'écriture. Comme la caresse plus intime de ces mains sur votre féminité... 
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sainte_levrette
do Josbarley : Bonne idée ! :smile:
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Josbarley
Je crois que je vais prendre l’autobus plus souvent .xx 
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sainte_levrette
do laurent7891 : La liberté sexuelle, c'est la liberté tout court, celle de se donner librement :wink:
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laurent7891
Une suite torride à une histoire déjà très chaude... cette liberté sexuelle assumée est tellement rassurante,  pour un homme, comme moi, ayant profité de cette période de fêtes orgiaques, des belles années de la 2ème partie des années 70 et des premières années 80... en plus, la pointe de suspens en deuxième séquence,  vient apporter un peu de piment à ces belles parties de baise. Merci Claire :smile:
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laurent7891
Chère Alice,  vos mots sonnent toujours aussi justes, décidément :smile: :smile:
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deathdealer
Quel régal ! J'en ai plongé ma main dans mon pantalon... :heart:
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sainte_levrette
Merci beaucoup pour ton commentaire ! Cela m'encourage à continuer :smile:
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