Chap. 5: Les deux cousines

La nuit est étoilée et je ne résiste pas au plaisir de piquer une tête dans la piscine d’Elena et Paul. L’eau est rafraichissante, juste comme il faut. Je nage et je me requinque.

Lorsque je reviens sous la véranda, Nicole est à quatre pattes, prise en levrette par Paul. Avec sa bouche, elle s’efforce de sucer mon Romain. Mais Paul est si puissant et vigoureux qu’elle a du mal à garder la bite de mon chéri en bouche.

Un peu plus loin, affalé sur des coussin tel un empereur romain, Félix a confié sa queue aux soins experts d’Elena. Elle le lèche et le suce avec beaucoup d’application. Il lui donne quelques indications qu’elle s’efforce de suivre.

Lorsqu’il me voit, Félix m’interpelle.

- Hé ! Viens nous rejoindre ! Mon sucre d’orge est assez gros pour vous satisfaire toutes les deux !

Je souris devant l’assurance bien macho dont fait preuve Félix. Elena se retourne et, elle aussi, elle me fait signe, en souriant, de venir les rejoindre. Si tout le monde insiste…
Je décide de m’installer à califourchon sur le visage de Félix.

- Je te suce et tu me lèches ! lui dis-je en riant.
- Comme tu voudras, ma colombe !

Il passe ses bras autour de mes cuisses et je sens sa langue qui écarte mes lèvres et lèche ma vulve. Ma bouche rejoint celle d’Elena autour du gland de Félix. Je le gobe alors que ma compagne de fellation lui lèche les couilles. Elle insiste et descend jusqu’à la zone qui sépare les testicules de l’anus.

Plus nous nous appliquons à donner du plaisir à notre bel amant, plus celui-ci me mange la chatte aves efficacité et application.

A l’autre bout de la pièce, Nicole, Paul et Romain ont changé de position. Paul s’est allongé sur le sol et Nicole est empalée sur lui. Romain est en train d’assouplir l’autre orifice de la belle, avec l’intention claire de la sodomiser.

Cette scène m’a excité et je sens que je mouille encore plus, pour le plus grand plaisir de Félix dont la bouche déguste ma chatte à grand bruit.

Mes lèvres frôlent celles d’Elena. Puis, nous échangeons un baiser, pendant qu’elle branle Félix. A ce rythme, même un surhomme ne tiendrait pas. Il se raidit, juste au moment ou Elena le reprend en bouche et décharge dans un râle.

Le sperme coule aux commissures des lèvres de notre hôtesse et je viens, dans un baiser, l’aider à le déguster. Nos langues se mêlent à la semence gluante. Puis, alternativement, nous recommençons à sucer Félix. A ma grande surprise, il rebande à nouveau et me soulève.

- On va passer à autre chose, mes tourterelles ! Elena, veux-tu préparer le fion de Claire ?

Notre belle hôtesse passe derrière moi et j’écarte mes fesses afin de lui faciliter l’accès à mon anus. Elle appuie sur l’ouverture, juste avec sa langue et je soupire d’aise tant cette caresse est douce.

- Oh, oui ! J’adore ça, continue ! dis-je.

Félix rit et se branle afin de redonner à sa bite toute la vigueur possible. Puis il remplace Elena derrière mon derrière.

Elena s’allonge devant moi et m’invite à lécher sa chatte, ce que je m’empresse de faire. Pendant ce temps, Félix, doucement ouvre le passage secret dans lequel il va bientôt s’introduire. Je cambre les reins. Il me tarde de le recevoir en moi.

Elena émet toutes sortes de gémissements. Elle a saisi mes cheveux et elle appuie sur ma tête. Félix appuie son gland sur ma rondelle et il me pénètre doucement tout en m’adressant une série de mots crus, fiévreusement lâchés.

- Hum, oui, ma belle salope, lèche-lui la chatte à cette putain ! Oui, comme ça… On voit que tu as l’habitude de prendre de grosses bites dans ton joli cul de petite chienne ! Je vais te défoncer comme tu le mérites ! Et ensuite, je vais m’occuper du fion d’Elena. Pas de jalouses !

Elena rit, visiblement habituée aux propos de Félix. Elle profite de ma bouche, rendu vorace par l’émotion qui me secoue. J’aime que Félix soit cru, qu’il me parle comme à une putain. Si je ne léchais pas Elena, sans doute répondrais-je à ses mots crus par d’autres mots aussi crus.

Des cris me font lever la tête. Nicole est en train de passer un joyeux moment, ses deux orifices malmenés par deux mâles en rut. Ils ne la ménagent pas et elle semble bien aimer ça. Je la trouve vraiment belle. Secouée par ses deux partenaires, elle ondule comme une liane.

Elena est sans doute un peu frustrée, car Félix m’a attrapée par les cheveux et tire ma tête en arrière, tout en m’enculant de plus belle. Les étalons aiment, dit-il, les juments qui ont de belles croupes !

Elle rejoint le trio Nicole-Paul-Romain. Dans une symphonie de cris et gémissements, les trois jouissent en même temps. Paul et Romain se retirent de la belle Nicole, dont les orifices ne me semblent plus tout à fait étanches, et ils l’arrosent de leur semence, sans oublier d’en asperger Elena qui se glisse à côté de la belle Antillaise.

Félix aussi s’est retiré de mon cul. J’aurais préféré qu’il jouisse en moi, mais, rapidement, il s’est retrouvé devant mon visage et m’a demandé d’ouvrir la bouche pour l’accueillir. Après qu’il ait éjaculé dans ma bouche, je l’ai longuement sucé. Il a fini par se ramollir dans ma bouche.

De toute la soirée, je n’ai pas été prise par Romain. C’est fait exprès. Nous avons tout le temps de faire l’amour ensemble. Lorsque nous sommes en groupe, chacun retrouve une forme d’indépendance.

Nous arrivons chez nous au petit matin. Je suis heureuse que les enfants soient chez mes parents pour la semaine, car j’ai vraiment besoin de sommeil et Romain aussi. Après une bonne douche, nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain, je suis seule à la maison lorsque je décide d’aller rendre visite aux deux jeunes femmes qui nous ont fait fantasmer, Romain et moi, il y a quelques nuits.
Monsieur Durand m’ayant expliqué où elles habitaient, je suis passé par le petit chemin qui serpente derrière notre maison, afin de rejoindre la maison de leur grand-mère, où elles habitent.

J’entre par derrière, comme elles l’ont fait chez moi et je les surprends en train de repeindre des volets. La maison, assez vétuste, a bien besoin d’un coup de jeune.

Lorsqu’elles me voient, elles sont plutôt agressives.
- Euh, ça va ? Ca vous gêne pas de rentrer comme ça chez les gens ?
- Pas plus que vous lorsque vous avez fait votre petit numéro dans ma piscine !

Du coup, elles échangent un regard et se calment. Elles ne savent pas trop quelle contenance adopter. Je les laisse mariner un moment.

La plus grande des deux est d’origine asiatique. Elle est mince et souple et possède deux jolis petits seins qui sont actuellement libres sous son teeshirt maculé de peinture. L’autre est rousse, avec une chevelure de feu et des tâches de son partout. Sa poitrine et son postérieur plairaient à Romain, amateur de Vénus callipyge. Elles sont très jeunes, dix-huit ou vingt ans, tout au plus.

Monsieur Durand m’a dit qu’elles étaient parentes, cela me semble assez peu plausible.
Voyant leur embarras, je fais en sorte de les rassurer.

- Bon, on est à égalité question intrusion, je crois. Par contre, je me pose une question…
- Si on peut répondre, c’est avec plaisir, fait la jolie rousse.
- Etes-vous les petites-filles de Madame V ?
- Oui, on est cousines, répond-elle.
- On ne se ressemble pas beaucoup, ajoute l’Asiatique, mais la mère de Jennifer est la sœur de mon père.
- Je vois… deux cousines aux idées larges ! fais-je, un peu moqueuse.
- On ne voulait pas vous choquer… me dit Jennifer, un peu inquiète.
- Je ne suis pas choquée. Au contraire, je pense à vous depuis que je vous ai vues, l’autre nuit.

Elles échangent un regard complice. Elles sont manifestement soulagées que je ne sois pas une vieille rombière choquée par une relation entre cousines.

- Donc, moi, c’est Jennifer et ma cousine, May ! fait la rousse d’un ton enjoué.
- Enchantée ! Je m’appelle Claire, dis-je. Saviez-vous que vous étiez observées, l’autre nuit ?

Elles se regardent et May prend la parole.

- On avait vu Monsieur Durand, mais on a été surpris quand on a entendu des voix venant de votre maison…
- Je suis désolée, c’était involontaire. Mais j’ai tendance a être un peu bruyante quand je jouis. Et la nuit, les bruits portent.

Elles sont stupéfaites. Je leur explique que nous avons, Romain et moi, fait l’amour en les observant. Elles ne semblent pas choquées. Je pense que ma franchise leur plait et que la glace est rompue.
Je note aussi que les habitudes de Monsieur Durand sont décidément bien connues du voisinage.

- Ca vous dit, un café ? demande May.
- Je ne voudrais pas déranger votre grand-mère…
- Oh, non, elle est à la montagne. Nous sommes seules avec Arthur, le frère de Jen !

Le salon est en désordre. Il y a des vêtements et des sous-vêtements de filles partout. On dirait ma chambre lorsque j’avais leur âge.

May va faire le café et je discute un peu avec Jennifer, curieuse d’en savoir un peu plus sur ma vie.
Elle m’explique que sa mère a épousé un Irlandais, son père, qui lui a légué sa rousseur. Le père de May a rencontré sa mère lors d’un voyage au Vietnam, ce qui explique la beauté eurasienne de sa cousine.

May revient avec la cafetière et des tasses.
Nous buvons tranquillement le café en mangeant des sablés. Puis, May se lève et passe derrière Jennifer. Elle lui masse les épaules, puis les seins, à travers la chemise en jean qu’elle porte.

- Ca vous dirait qu’on fasse l’amour devant vous, comme l’autre soir ? demande la jolie Asiatique.

Je reste saisie de surprise, ces deux gamines n’ont décidément pas froid aux yeux. Cela dit, on ne refuse pas une aussi agréable proposition.

- Avec plaisir ! dis-je.